Informations personnelles
Prénom : Camelot
Surnom : Je n'en ai pas vraiment...
Nom: dit de Beauregard
Âge : 21 ans
Sexe: Masculin
Race : Humain
Rôle: Chevalier errant
Informations physiologiques et psychologiques
Physique : Dans le fond, comme tout bon paysan qui travaille sur sa terre, j'ai une bonne forme physique, car je travaille dur chaque jour. Je suis ensuite allé à l’école de chevalerie, alors j’ai développé encore plus mes capacités physiques et intellectuels. J’ai les cheveux ni courts ni longs, bruns foncés et mes yeux font contrastes avec ceux-ci, car ils sont d’un bleu clair. Comme je passe mon temps à l’extérieur, j’ai la peau à l’épreuve du soleil plombant et des intempéries. J'ai de vraies mains de travailleurs; elles sont robustes à cause des épreuves qu'elles subient et écorchées pour tous les coups qu'elles ont endurés. Lors de ma première bataille dans la ruelle à 17 ans, j'ai acquis des cicatrices dans le dos et au niveau des omoplates. La preuve que cet événement m'a marqué pour toute ma vie; physiquement et psychologiquement. Je suis de grandeur moyenne, c’est-à-dire 5 pieds 6.
Signe particulier : Je suis toujours accompagné de mon fidèle destrier, Shadow.
Caractère : Je suis chevalier errant, donc passe la plupart de mon temps en solitaire, sans compter mon accompagnateur de toujours, mon cheval Shadow. Même si je passe le plus clair de mon temps seul, j’aime être en compagnie de gens et je suis en général très social. Par contre, j’ai de la difficulté à faire confiance à quelqu’un à 100%. Après tout, je ne suis pas si habitué d’avoir des amis. Je suis plutôt indépendant. Mais si jamais j’arrive à faire confiance à quelqu’un, je serai un ami loyal et dévoué.
Je suis très altruiste, ce qui explique ma passion pour ma profession. Ma vie, c’est d’aider les gens dans le besoin.
Même si je suis une personne joyeuse, il m’arrive de m’emporter de temps à autre. C’est assez rare je dois dire, mais quand cela arrive, ôtez-vous de mon chemin! Surtout quand c’est par rapport aux droits des autres.
Peur(s): endroits étroits et fermés
Force(s): Combat-cheval (Shadow)
Faiblesse(s): Son cheval et il ne peut supporter qu'on fasse du mal à ses amis. C'Est pour cette raison que depuis la disparition ou mort de Larry, il est très méfiant et n'ose plus trop s'attacher à quelqu'un.
Informations sociales
Monde de naissance : Barguirent
Relation/Famille : Je suis le fils d’un couple de simples paysans appréciés par les gens de mon petit village. J’ai eu un seul véritable ami dans toute ma vie (jusqu’à maintenant), mais il a été porté disparu lors de la dernière guerre. J’ai bien peur qu’il ne soit plus de notre monde... Pour le reste, j’ai Shadow, mon fidèle ami de tous les jours. Je l’ai acquis récemment, mais depuis ce jour, il est toujours avec moi.
Armes: Je manie bien toutes les armes connues par les Hommes, pour la formation que j’ai reçue en chevalerie, mais je me suis spécialisé avec l’épée.
Pouvoir: Je n’en ai jamais acquis; je suis un simple mortel, mais je soupçonne mon nouveau destrier d’avoir certaines capacités que les chevaux ne devraient pas posséder normalement.
Informations historiques
Histoire : J’ai grandi sur les terres de mon père, destiné à être agriculteur toute ma vie. Un jour, j’avais à peu près 17 ans, j’allais acheter quelques semences de maïs au marché. Je passai par une petite ruelle sombre. C’est en cet endroit que ma vie bascula : j’allais découvrir la vocation à laquelle j’allais me dévouer pour le reste de mes jours. Une jeune fille était en train de se faire harceler par deux jeunes hommes. Je restai à l’écart pour m’assurer qu’il ne s’agissait pas de personnes qui lui faisaient une mauvaise blague. C’est quand l’un d’eux leva sa main sur la paysanne que je compris que ce n’était pas du bluff. Guidé par mes instincts, je bondis à la défense de la jeune fille. Je ressortis en très mauvais état de la bataille, mais j’avais fini par prendre le dessus et chasser les assaillants. Je pris alors conscience, à travers la douleur et le soulagement, que je ne pourrai jamais laisser quelqu’un faire du mal à des innocents, que justice devait être faite. Alors, avec toutes les économies de ma famille, je m’inscris à l’école de chevalerie du comté. J’appris très vite et devint un très bon combattant. Je me souviens que dans notre régiment, tous les soldats possédaient un numéro propre, car il était interdit de socialiser avec les autres futurs-chevaliers. Ainsi, personne ne se liait d’amitié et il était plus facile d’accepter la mort de l’un d’entre nous durant la guerre. Je me souviendrai toujours de mon numéro de soldat; 2-52. Avec mon voisin (2-53) nous enfreignîmes la règle; nous seuls nous appelions par notre prénom. Il s’appelait Larry... il a été la seule personne à qui j’ai pu faire confiance et qui est devenu mon meilleur ami. Après 3 ans d’études et d’entraînement, nous pûmes enfin faire l’honneur de nos familles et être nommés chevaliers du comté par le seigneur lui-même. Ce fut pour nous une telle fierté, ... mais qui tourna rapidement au cauchemard! Puisque j’avais été qualifié de bon guerrier et Larry de bon stratège, on nous envoya au front dans une guerre où je découvris pour la première fois que notre monde n’était pas seulement constitué d’Humains et d’animaux... mais aussi de créatures magiques de toutes sortes. Nous remportâmes la victoire sur une partie du Monde Parallèle... mais ce ne fut pas sans perte. Nous perdîmes énormément de soldats. Je fus décontenancé d’apprendre que le soldat #2-53 était porté disparu, présumé blessé. Mais nous savons tous ce que cela signifie... il est fort probable que le soldat soit déjà mort.
Depuis ce temps, je n’ai plus osé me lier d’amitié avec qui que ce soit puisque la perte d’un être cher est très pénible à supporter.
Au retour de la guerre, moi et mon supérieur fûmes en charge d’une partie des nombreux prisonniers du camp adverse. Mon supérieur m’ordonna d’en exécuter une partie par moi-même, étant donné leur grand nombre. Je refusai, car même s’ils étaient nos prisonniers, ils devaient être bien traités. Quelques-uns d’entre eux ne savaient même pas pour quelle raison ils étaient en guerre! J’eu droit à une bonne correction pour désobéissance et le colonel tortura un prisonnier à mort sous mes yeux. Je m’emportai et attaquai mon supérieur. Cette nuit-là, il y eut belle et bien des exécutions : moururent un malheureux prisonnier et un général qui l’avait bien mérité.
Je dus m’enfuir, non pas par peur, mais par désir de suivre ma mission : sauver les gens opprimés par des brutes comme cet ex-général.
J’étais prêt à déguerpir, il ne me manquait plus qu’une chose : la monture. Je n’avais pas l’intention d’emprunter sans permission un cheval de l’écurie du seigneur. Je serais déjà perçu comme un « assassin » je n’avais pas besoin de la réputation de voleur en plus!
C’est ainsi que je me rendis, et décidai de continuer ma lancée... à pieds. Je passai par le marché, en direction de la frontière la plus proche quand j’entendis des cris affolés provenant de la place centrale. Je m’approchai, intrigués par les affolements. Des hennissements déchaînés retentirent et j’aperçus un magnifique étalon d’un noir d’encre, les naseaux dilatés, les yeux expressant sa sauvageresse. Un homme vêtu d’une cape noir couvrant entièrement son visage retenait péniblement l’animal à l’aide d’une bride. Le cheval paniqué se dressa sur ses pattes arrière et se libéra de l’emprise de son propriétaire. L’animal galopait dans tous les sens, chargeant les marchands et paysans qui passaient par là. Je restai figé, un peu apeuré par cet animal imposant, mais savais à la fois qu’en restant immobile, cela l’affolerait moins. Il me vit et se rua sur moi... peut-être avais-je tort à propos du fait d’être immobile? Je me rendis compte finalement que l’animal n’avait plus cette même expression de terreur et d’agressivité : il avait les oreilles pointées vers l’avant, curieuses, et des yeux intrigués. Je gardai mon calme aussi longtemps que je pus et essayai de me donner un air autoritaire. À ma hauteur, le cheval se cabra à nouveau, mais je ne bronchai pas. J’avançai doucement ma main ouverte en sa direction. Après quelques hésitations, il vint poser son museau contre ma paume et je le caressai doucement. Je pus alors prendre les rennes qui lui pendaient du cou et le ramenai tranquillement vers son intriguant propriétaire de l’autre côté de la place. Je tendis la laisse et ce-dernier me fit un signe de non de la tête. Il referma mes doigts sur la corde et repoussa gentiment ma main tendue vers lui.
-C’est le cheval qui choisit son cavalier, me dit-il d’une voix rauque et caverneuse.
Il fit volte face et s’en alla d’un pas boitant. Je le regardai s’éloigner, incrédule. Depuis quand on donnait un si beau cheval à un parfait étranger? Je ne me plaignis pas et regardai ma nouvelle monture doucement. Il me hennit, réjoui. Je souris, content d’avoir un compagnon de voyage et lui caressai l’encolure.
Ce moment de quiétude fut rompu par des galopements précipités et des cris d’hommes.
*Il est temps pour nous de filés*
J’enfourchai ma monture et nous partîmes au grand galop vers la frontière du comté.
Rêve(s): Que tous les êtres vivants soient égaux, Aider le plus de personnes possible
Autre(s): Puisque je vis seul, j’ai quelques connaissances sur la médecine des plantes.
Informations supplémentaires: -
Texte du rang: Chevalier errant
Couleur du rang: gray
Avez-vous un autre compte sur le forum: non
Par qui avez-vous connu le forum: Shinda
Avez-vous une suggestion pour améliorer le forum?: Non
Autre: Camelot ne le sait pas encore, mais l'Arguidient, c'est son cheval.
Je n’ai pas pu agrandir mon avatar... Je ne sais pas s’il est quand même accepté, à moins que quelqu’un veuille m’aider.
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